( aujourd'hui, pas d'image
mais
juste quelques mots
parce que je suis loin
et que je souhaite
écrire ici
ce matin )
ce jour-là
était une fête
pleine de lumière
de couleurs
de sons
comme jamais
de temps
long
interminable
et doux
à laisser
Caroline
faire son oeuvre
à son rythme
à lui laisser le temps
dont elle avait besoin
qui n'était pas le mien
mais
il faut bien cela
pour s'accorder
et se lancer
dans cette entreprise
loufdingue
que constitue
le maquillage
de la moitié d'un corps
qui en abrite un autre
ce qui offre déjà
belle matière
à déjante
en soi
dimanche 10 mai 2009
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